Bonjour,
je vois que vous connaissez bien historique de la ligne, juste un détail qui ne changera rien, les rails ont étaient posées par des michelines qui fonctionnaient au gazogène, et ensuite furent retirés en fonctionnement inverse de ces micheline de chantier; mais j'aurai voulu avoir votre avis sur la ligne au niveau de Caussoge ou tout est en friche et soit disant il y a des animaux rare et unique, n'y a-t-il pas eu des travaux très important assainissement et drainage cela n'est pas une question du passé mais cela pour vous prouvé que il y a des erreurs de se qui ont défendu le Castel au tribunal administratif. Ayant lu l'article paru dans le journal Sud ouest dont je mais la copie ci- dessous je voudrai s'avoir quel commentaire vous en faite.
Avance merci au revoir. 5 octobre 2010 06h00 | Par Jean-Charles Galiacy 0 commentaire(s)
Le projet Le Castel est bien mort et presque enterré
Le projet de près de 300 logements à destination des seniors s'effondre.
Autour d'un vaste bâtiment central, Le Castel devait compter plus de 300 logements. Photo archives « sud ouest »
Autour d'un vaste bâtiment central, Le Castel devait compter plus de 300 logements. Photo archives « sud ouest »
Partager
Facebook Twitter Diggit StumbleUpon
Plus
Gers
Castelnau-d'Auzan
Immobilier
Envoyer à un ami
Imprimer
Partager
Facebook Facebook Twitter Twitter
StumbleUpon Stubleupon Diggit Digg
Myspace Myspace Delicious Delicious
Live Live G bookmarks G bookmarks
Reddit Reddit Linkedin Linkedin
Il aura fait couler beaucoup d'encre. Mais aucun centilitre de béton finalement. Le Castel ne verra sans doute jamais le jour à Castelnau-d'Auzan, la commune de 1 200 âmes située en pleine zone armagnacaise.
La Capitainerie en vente La révision simplifiée du plan d'occupation des sols (POS), qui aurait permis de le voir naître, a été annulée lors du dernier Conseil municipal. Et le promoteur, l'homme d'affaires hollandais Jacob Priem, semble, tout doucement, se retirer. Il vient de mettre en vente dans une agence immobilière élusate, la Capitainerie, un bâtiment destiné à promouvoir le lotissement.
« Pharaonique », « colossal », « titanesque » : les adjectifs ne manquaient pas, pourtant, pour qualifier ce dessein immobilier qui, à son origine, devait compter plus de 300 logements et un imposant bâtiment central regroupant notamment des services de santé à la personne. Le lotissement devait surtout accueillir quelque 600 seniors, originaires principalement du nord de l'Europe.
Au bout du compte, la résistance l'a emporté face à l'héliotropisme. Car Le Castel n'a jamais navigué sur un long fleuve tranquille. Des pancartes opposantes ont fleuri un peu partout dans la commune quelques jours, seulement, après l'annonce publique du projet. Et les détracteurs, regroupés en association, ont joué de recours devant le tribunal administratif de Pau pour perturber son avancement.
« Une victoire logique » L'été dernier, il avait même été réduit de moitié pour ne plus effrayer la population locale. « Maintenant, je pense que c'est fini. Je ne veux pas prendre de risque. On a fait tout ce qu'on a pu. […] Mais être trop gros face à des gens qui sont contre tout, c'est encore plus difficile », livre aujourd'hui le maire Philippe Beyries, à l'origine du dessein immobilier.
Pour Sylvie Louge, en revanche, membre du collectif de défense, « c'est une victoire logique : le projet n'était pas viable et ce depuis le début. Il n'avait même pas l'aval du Conseil général. »
Restent les terrains. Près de 2 millions d'euros auraient été dépensés en début d'année 2008. Philippe Beyries veut croire que les investisseurs frapperont un de ces jours à la porte de sa mairie pour proposer un nouveau projet.
En attendant, l'édile ne se laisse pas abattre. « Je regrette Le Castel, explique-t-il. Mais ces regrets, je les transforme en rebonds. J'ai déjà en tête deux autres projets pour le développement de la commune. » Il s'agirait d'un projet de lotissement social et d'un autre restant mystérieux… Et pourquoi pas un nouveau « Castel » atténué ?